La thèse du « cadre temporel », défendue par le puissant lobby de l’agro-négoce et qui proposait de ne reconnaître comme terres revenant de droit aux autochtones que celles qu’ils occupaient ou revendiquaient officiellement au moment de la promulgation de la Constitution en 1988, a été rejetée jeudi par la Cour suprême brésilienne au terme d’un procès historique.
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