La répression de la police des mœurs s’est accrue avec l’arrivée au pouvoir de l’ultraconservateur Ebrahim Raïssi. Acculée par la crise économique, la population iranienne, prise en étau, exprime sa colère dans la rue depuis la mort, vendredi, d’une jeune femme arrêtée pour sa tenue vestimentaire et décédée trois jours plus tard.
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