Alors que le mouvement de contestation gagne en intensité après un nouvel appel à une grève de trois jours en Iran, le procureur général a surpris, samedi, en annonçant la suppression de la police des mœurs, organe responsable de la mort de Mahsa Amini en septembre dernier. Mais cette déclaration, d’abord perçue comme un recul du régime, est à interpréter avec précaution.
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