Au terme d’un déplacement de deux jours en Nouvelle-Calédonie, Emmanuel Macron a déclaré, mercredi, vouloir « début 2024 » une « révision de la Constitution » pour la Nouvelle-Calédonie. Le chef de l’État a réuni les différents groupes politiques, malgré l’absence de responsables indépendantistes, pour lancer un dialogue en vue de la réforme constitutionnelle promise après trois référendums qui ont rejeté l’indépendance.