Le premier procès d’ex-dirigeants et hommes d’affaires incarcérés pour corruption en Algérie, ajournée lundi, s’ouvre mercredi. Mais la défense a d’ores et déjà annoncé qu’elle boycotterait sa réouverture car elle estime que les « conditions d’un procès équitable ne sont pas réunies ».
À propos de l’auteur