Alors que des manœuvres militaires rivales ont eu lieu mercredi en Méditerranée orientale, dans un contexte de tensions croissantes entre la Ankara et Athènes, le Premier ministre grec a discuté par téléphone avec le président américain. Il a affirmé que son pays était prêt à une « désescalade significative », « à condition que la Turquie arrête immédiatement ses actions de provocation ».
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