Un an après le coup d’État militaire en Birmanie, la communauté internationale a accru lundi la pression sur la junte au pouvoir. L’ONU a prévenu avoir collecté des informations relatives à de possibles « crimes contre l’humanité » tandis que Washington, Ottawa et Londres ont annoncé de nouvelles sanctions. L’opposition a pour sa part appelé à des grèves silencieuses mardi.
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